Ce collage a été composé à partir de coupures de vieux magazines arlésiens, vestiges d’une époque encore trop présente. Sous ses allures absurdes et décalées, cette affiche dénonce frontalement la tradition de la corrida en France.
Le corps du taureau — ici affublé d’une tête féminine aux traits figés — devient un symbole de la violence travestie en spectacle. Le matador, droit et figé dans son costume d’apparat, incarne la fierté cruelle d’un rituel suranné. Le marquage sur la croupe, pointé par une flèche rouge criarde, rappelle la possession, la douleur, le branding de l’animal transformé en marchandise.
Ce visuel volontairement dérangeant mêle satire, critique culturelle et détournement pour inviter à réfléchir : à quoi bon célébrer une tradition quand elle repose sur la souffrance ?
Ce collage a été composé à partir de coupures de vieux magazines arlésiens, vestiges d’une époque encore trop présente. Sous ses allures absurdes et décalées, cette affiche dénonce frontalement la tradition de la corrida en France.
Le corps du taureau — ici affublé d’une tête féminine aux traits figés — devient un symbole de la violence travestie en spectacle. Le matador, droit et figé dans son costume d’apparat, incarne la fierté cruelle d’un rituel suranné. Le marquage sur la croupe, pointé par une flèche rouge criarde, rappelle la possession, la douleur, le branding de l’animal transformé en marchandise.
Ce visuel volontairement dérangeant mêle satire, critique culturelle et détournement pour inviter à réfléchir : à quoi bon célébrer une tradition quand elle repose sur la souffrance ?
